[cio-online.com] En Autriche, l'armée renonce à Microsoft Office
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Pour ses 16 000 postes de travail, la défense autrichienne migre sur LibreOffice. Un projet préparé depuis 5 ans et qui vise à garantir l’indépendance de ce service régalien.
Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
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Pour ses 16 000 postes de travail, la défense autrichienne migre sur LibreOffice. Un projet préparé depuis 5 ans et qui vise à garantir l’indépendance de ce service régalien.
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Dans une lettre ouverte plusieurs fondations dont l’OpenSSF met en garde contre les usages irresponsables des solutions ouvertes dans les entreprises et les administrations. Beaucoup les exploitent mais peu participent financièrement aux infrastructures nécessaires.
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La Linux Foundation Europe vient de publier son rapport 2025: si les entreprises européennes adoptent massivement l’open source, rares sont celles qui disposent d’une stratégie claire ou d’un pilotage structuré. Cela a pour conséquences directes une dépendance persistante à des technologies extra-européennes, des difficultés à sécuriser la supply chain logicielle et entraîne indéniablement une valeur économique captée ailleurs.
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Dans une lettre ouverte adressée aux 698 communes de Côte-d’Or, aux 17 communautés de communes, au CHU de Dijon, au rectorat de Bourgogne et à d’autres administrations locales, trois associations — Les Amis de la Terre Côte-d’Or, DésobS et Coagul — tirent la sonnette d’alarme. À l’approche de la fin du support de Windows 10, prévue le 14 octobre prochain, elles dénoncent une obsolescence programmée qui aura, selon elles, des conséquences économiques, écologiques et démocratiques considérables
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Les lycées franciliens abandonnent progressivement les solutions Microsoft pour adopter des outils français. Le directeur de la transformation numérique de la région Île-de-France dévoile à La Tribune comment la collectivité migre vers un cloud souverain et des logiciels nationaux pour héberger les données de ses 550 000 élèves et enseignants.