Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
L’association Culture numérique Occitanie (CN’Oc) a organisé il y a quelques jours son premier café numérique à la Ruche sur le thème de la captation des données personnelles par les géants du web, et des logiciels libres pour limiter cette mainmise sur internet, intitulé “Vos données valent de l’or” dans les locaux de la Ruche.
Difficile, pour ne pas dire impossible, pour des petites marques indépendantes de se passer des services d’ETA, qui appartient à Swatch Group, ou de Sellita, les deux principaux fournisseurs de mouvements horlogers. La mise au point de ses propres calibres est une opération de longue haleine, excessivement coûteuse, que ne peuvent se permettre que de très grandes maisons, comme Audemars Piguet par exemple.
Le service d’hébergement de code GitHub ne se contente pas, aujourd’hui, d’annoncer ses apps mobiles. Il lance également un programme original intitulé GitHub Archive Program qui, avec un accent survivaliste, entend préserver les logiciels Open Source pour les génération futures, dans la crainte d’un effondrement global.
Dédié cette année aux questions liées à la ‘tech for good’, le Blend Web Mix est aussi l’occasion d’aborder des sujets comme l’organisation du travail. Lors de sa conférence, Bertrand Delacretaz, Principal Scientist chez Adobe à Bâle, s’est demandé si l’open source changeait vraiment le monde. De quoi nourrir quelques réflexions sur le monde du travail!
Le célèbre domaine «.org», qui s’adresse avant tout aux organisations à but non lucratif, va connaître un important bouleversement. Administré jusqu’à présent par un organisme sans but lucratif, il va passer sous la coupe d’une société à but lucratif. L’opération suscite stupeurs et suspicions.
Un projet open source est à la fois un bien commun et un bien public. Une dichotomie idéale pour la présence de parasites, qui veulent utiliser la technologie sans y participer ou capter des clients en contribuant au projet. Il existe cependant des moyens pour remédier à ce syndrome.