Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
La ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Amélie de Montchalin, a présenté mercredi 10 novembre la feuille de route du gouvernement pour développer le recours à l’open source, vecteur de souveraineté numérique et gage de «confiance démocratique».
Comment se construit concrètement la souveraineté numérique, alors qu’elle semble menacée par les stratégies et ambitions d’entreprises étrangères et de certains États?
Association «d’éducation populaire» dédiée aux logiciels libres, Framasoft a été créée en ligne le 9 novembre 2001. D’abord annuaire de logiciels, elle a bien grandi.
Quantité de données stratégiques sont disponibles sur le web et noyées dans son immensité. Les fuites de millions de fichiers, comme les Pandora Papers, s’ajoutent à ce puits sans fond. Pour faire face à cet afflux de données exponentiel, les journalistes d’investigation coopèrent aux quatre coins du monde, développent de nouvelles stratégies et s’appuient sur des outils informatiques puissants.