L’organisation va créer une base de données en open source pour documenter les manquements légaux et éthiques des grandes plateformes et identifier des solutions
Wikipédia est beaucoup plus qu’une simple encyclopédie aux yeux des contributeurs francophones les plus actifs, dont certains ont déjà dépassé le million de modifications.
En réponse aux sanctions des puissances occidentales, la Russie est en train d’écarter Windows du paysage. Moscou veut faire la part belle à Linux et à l’open source.
Lancée à titre expérimental, l’Open Data University vise à «favoriser la création de services publics augmentés de manière systémique», ainsi qu’à «détecter les talents du numérique qui veulent œuvrer pour l’intérêt général», en aidant les étudiants à contribuer à des projets de réutilisations de données ouvertes.
Initialement fondé sur des valeurs démocratiques, force est de constater que l’internet que nous connaissons aujourd’hui s’éloigne chaque jour un peu plus de la vision de ses créateurs.
Le numérique représente 10% de la consommation d’électricité en France, et 2,5% de ses émissions de CO2. Des minerais nécessaires aux appareils à l’énergie consommée par les data centers, le numérique a des effets écologiques en augmentation constante. Mais ce n’est pas forcément réduire son usage d’Internet qui est décisif pour la sobriété énergétique.